Un voyage à vélo, c’est toujours un projet hors du commun. Nicolas et Lucas, deux étudiants baroudeurs, ont en plus choisi de donner une dimension solidaire à leur futur voyage en Asie du Sud-Est !
Leur départ est prévu pour décembre 2016. Entre les cours et les préparatifs du voyage, ils nous ont accordé une interview Skype pour parler de leur projet, que nous trouvons excellent !
La vidéo n’est pas de la meilleur qualité, veuillez nous en pardonner, mais le contenu y est et nous espérons que vous vous laisserez embarquer par le projet des deux futurs cyclo-voyageurs 🙂
Retranscription de l’interview (Cliquer pour afficher)(Cliquer pour masquer)
Maxime : Nicolas et Lucas, est-ce que vous pourriez commencer par vous présenter, puis par présenter votre projet ?
Lucas : Moi c’est Lucas, je suis le co-président de V’Asie Roule avec Nicolas. Pour le moment, pendant un an, j’habite en Suède, pour mes études, dans la petite ville d’Umeå, très proche de la Laponie. J’étudie les plantes et les biotechnologies. Voilà, Nico ?
Nicolas : Moi c’est Nicolas, je suis l’autre co-président de V’Asie Roule, et je suis actuellement à Nantes, où je fais mes études d’ingénieur en habitat et environnement urbain. Donc maintenant je vais vous parler du projet V’Asie Roule : c’est un projet qui va nous faire partir en Asie du Sud-Est pendant sept mois, à vélo. Donc ça va faire, à peu près, entre 6000 et 7000 kilomètres de vélo à travers cinq pays, qui sont le Vietnam, la Thaïlande, le Laos, le Cambodge et la Malaisie. C’est un projet qui est sportif, avec le vélo, mais qui est aussi solidaire et humanitaire, puisqu’on travaille avec une association qui s’appelle Enfants du Mékong, qui est une association qui fonctionne par parrainages. En fait, elle cherche des parrains en France pour parrainer les enfants en Asie du Sud-Est et leur permettre d’avoir accès à l’éducation. Ce sont soit des centres, où les enfants vont, qui sont parrainés, soit des enfants qui sont directement parrainés et qui vont aller dans les centres. À côté de ça, on travaille aussi avec des écoles en France, des classes dans les écoles partenaires, qui nous suivent pendant notre trajet. Les écoles organisent des actions de levers de fonds, par exemple une course solidaire, qui permettent de récolter des fonds pour les parrainages pour Enfants du Mékong. Il y a un échange qui se crée entre les écoles en France et les centres parrainés. Et pendant notre trip, on ira dans les centres, on ira rencontrer les enfants parrainés et on fera des mini-reportages vidéo pour montrer aux écoles [françaises] ce que leur action de levers de fonds a permis là-bas.
Lucie : Super ! J’ai vu dans vos descriptions que vous n’étiez pas des débutants dans le voyages, puisque vous avez voyagé un peu chacun de votre côté dans le monde. Mais, j’ai l’impression que c’est votre premier voyage à vélo, du moins, long. Pourquoi avez-vous choisi ce mode de transport pour ce voyage ?
Lucas : Sur plusieurs points : déjà avec le côté sportif, qui nous plaisait pas mal, et c’est vrai qu’en Asie du Sud-Est, au niveau des distances, le vélo ça correspond quasiment parfaitement sur six mois, sept mois, on pouvait faire cinq pays en vélo, c’était parfait. Et on cherchait une sorte de transport alternatif entre la voiture, l’avion, et on est un peu aussi sur l’écologie et le développement durable, du coup… On cherche un voyage qui combinait tout ça et le vélo c’était parfait !
Lucie : Exactement !
Maxime : Ok, très bien ! Vous venez de nous dire pourquoi le vélo, et maintenant, pourquoi l’Asie ? Pourquoi l’Asie du sud-Est ?
Nicolas : Déjà, personnellement, et pour Lucas je sais que c’est pareil, l’Asie ça m’a toujours attiré, parce qu’il y a une diversité qui est monstrueuse, et encore plus en Asie du Sud-Est. Il y a vraiment un fourmillement de cultures avec la religion, pas du tout pareil que chez nous, c’est hyper important aussi, et c’est un dépaysement total, ça va vraiment nous permettre de voir autre chose et de comprendre comment ça se passe. Après, il y a aussi tous les paysages magnifiques, avec les plages paradisiaques du Vietnam ou les temples, les paysages de montagne. Ça nous attire pas mal aussi ! Et au fur et à mesure qu’on avance dans notre projet, on trouvait ça encore mieux car, maintenant, il y a cette nouvelle dominante avec les enfants qu’on aide là-bas. C’est vraiment cool, parce que c’est vrai que là-bas, les enfants, il y en a beaucoup qui travaillent encore et qui n’ont pas du tout accès à l’éducation…
Lucie : Oui, d’accord !
Nicolas : Voilà pourquoi l’Asie du Sud-Est. Aussi, les distances sont vraiment adaptées pour le vélo, parce que ce ne sont pas des si grandes distances que ça pour les cinq pays.
Lucie : D’accord ! Donc c’est vrai que le choix Asie et vélo est vraiment bien adapté parce que vous allez pouvoir découvrir beaucoup de choses, c’est un transport qui va vous permettre de rester dans une thématique assez écologique et en plus, vous rajoutez cette composante solidaire à votre voyage, qui fait que c’est plus qu’un voyage de vacances, c’est vraiment quelque chose avec un sens.
Justement, on s’est demandé d’où vous vient cette idée de faire participer des écoles dans votre projet ? Est-ce que vous avez une sensibilité particulière pour l’éducation, à la base ? D’où ça vous vient ?
Lucas : C’est exactement ça, avec Nico, depuis un long moment déjà on avait parlé de ce projet. On ne savait pas exactement comment le mettre en place, mais finalement l’idée d’un projet nous plaisait bien. On voulait faire un voyage, au départ. Faire un voyage à vélo. On s’est dit « si on part six mois, autant que ça soit utile » et l’idée de l’éducation est venue quasiment directement, car c’est quelque chose qui nous tient vraiment à cœur. L’idée d’avoir une proximité entre les écoles françaises et d’Asie, d’être un peu les « messagers », ça nous plaisait pas mal et l’idée de travailler avec les enfants, moi ça me plaisait vraiment bien. Je suis assez à l’aise, Nico aussi, on s’est dit « l’éducation c’est parfait ».
Lucie : Super !
Nicolas : C’est un milieu qu’on connait bien car ma mère est institutrice, mon père est prof et on est dans un milieu où il y a pas mal de profs. C’est peut-être ça aussi qui nous a sensibilisé à ça.
Lucas : Et moi j’avais cinq frères et sœurs – famille recomposée – donc c’est vrai qu’on a une petite sensibilité pour ça.
Lucie : D’accord ! Et on se demandait si vous aviez déjà entendu parler du projet de Kristelle Savoye, qu’elle a fait au début des années 2000. Elle a fait justement un voyage à vélo à la rencontre des écoles du monde, en Afrique, en Amérique latine. Et elle aussi liait ses découvertes des écoles du monde aux écoles françaises via son site internet. On se demandait si vous aviez déjà entendu parler de ça, en faisant vos recherches, ou si c’était nouveau pour vous ?
Lucas : Au moment où on a fait nos recherches, on a entendu parler de Kristelle Savoye, on avait regardé ce qu’elle avait fait. C’est très proche de notre projet. Lors de nos recherches, on n’est pas vraiment tombés que sur Kristelle Savoye.
Lucie : Ah, d’accord !
Lucas : L’année dernière, il y a aussi des groupes de personnes, Asie-cyclette par exemple, deux groupes Asie-cyclette, qui ont fait exactement – pas exactement encore une fois – mais à peu près le même projet. Et c’est eux qui nous ont bien aidés du coup à mettre le truc en place ! On a skypé avec eux plusieurs fois, surtout avec Xavier Guignard. Et lui aussi a fait Asie-cyclette pour Enfants du Mékong, il a fait de la communication pour Enfants du Mékong. Et avec l’autre groupe Asie-cyclette on a parlé de pleins de choses, et eux aussi ont fait ça sous forme d’articles pour les écoles. Et ils ont eu des subventions.
Lucie : Donc vous êtes un peu dans le prolongement des projets d’Asie-cyclette !
Lucas : Exactement !
Nicolas : C’est un peu la relève !
Lucie : D’accord, super !
Maxime : Très bien ! J’ai cru comprendre que vous avez un message fort sur l’écologie et le développement durable, notamment sans doute du fait de vos études sur ces points. Comment est-ce que vous prévoyez de communiquer sur ces points ?
Nicolas : Déjà, pour l’instant notre seule plateforme de communication c’est notre page Facebook. Après, on a un site qui est en création, donc avec une partie blog pour le voyage, on va faire des articles, et une partie fixe pour présenter le projet. Et en fait, pour communiquer, comme tu disais, sur les problématiques qui nous tiennent à cœur, on va faire des articles sur le blog, qu’on mettra aussi sur la page Facebook, pour sensibiliser tout le monde à des problématiques environnementales. Et après, il y aura certains articles qui viseront les classes des écoles partenaires. Ça on aura vu en amont avec les professeurs ce sur quoi ils veulent travailler, et du coup, là ce seront aussi des articles qui seront sur notre blog, mais ça sera peut-être un peu plus ciblé. Et après, il y aura aussi les reportages vidéo qu’on va faire sur les enfants parrainés, comme je l’ai dit tout à l’heure.
Lucie : D’accord, très bien !
Maxime : Super !
Lucie : Donc ça va se faire via cette plateforme de blog, dont on vous communiquera l’adresse quand il sera ouvert. On pourra communiquer cette adresse si vous voulez.
Lucas : Oui, tout à fait !
Lucie : Et aussi, pour tous ceux qui regardent cette vidéo, allez liker la page facebook de V’Asie Roule !
Maxime ; Qu’on mettra en commentaire !
Lucie : Qu’on vous mettra aussi en commentaire pour que vous puissiez aller liker la page si ça vous intéresse, et je pense que ça vous intéressera (rires), c’est un super projet !
Donc là on a bien compris qu’il y a l’écologie, les écoles, l’action humanitaire… Pour les écoles, vous nous avez expliqué que vous alliez faire participer les écoliers grâce à vos petits reportages vidéo. Est-ce qu’il y aura d’autres choses que vous avez en tête pour les faire participer au jour le jour ? Est-ce que vous avez déjà des écoles partenaires aussi, ou est-ce que c’est en préparation ? Où vous en êtes sur ces partenariats avec les écoliers français ?
Lucas : Sur le partenariat avec les écoliers français : déjà, c’est assez compliqué de trouver des écoles parce qu’il y en a qu’un seul d’entre nous qui est en France, et Nicolas va partir à Hong-Kong bientôt ! Mais ça se goupille pas mal, parce qu’on a pas mal de relations. Pour l’instant, on a : une école primaire à Vouvray, un collège à Vouvray, une documentaliste à Philippe de Commynes qui est aussi à Tours on a une école primaire à Parçay-Meslay et nous avons une psychologue scolaire en Poitou-Charentes. Ça va, à mon avis, encore continuer. Le projet a commencé depuis deux mois, je pense que ça va encore continuer. Au niveau des actions, justement c’est un des objectifs aussi du projet, de lever des fonds, de faire des collectes. Pour cela on aimerait, en septembre-octobre aller rencontrer les écoles et les aider à faire des actions solidaires. À parler de projets, « qu’est-ce qu’on pourrait faire ». Nicolas parlait aussi du fait qu’on était en train d’organiser une course solidaire. Par kilomètres, un parrain va donner deux euros par exemple. Donc ça, par le nombre de coureurs dans un collège de sept-cent personnes, c’est quand même pas mal. On est super contents de cette nouvelle, notre première grosse nouvelle, et normalement ça va se passer, on en parle pas mal, le directeur du collège a l’air plutôt ok. Pour les écoles primaires, on va essayer d’organiser des tombolas, des choses comme ça.
Lucie : D’accord !
Lucas : Des ventes de bracelets… tout est ouvert, on essaye d’avoir des idées là-dessus, originales ou pas, tout est bon pour récolter des fonds !
Lucie : Super ! Donc vous allez sensibiliser les enfants français à la collecte de fonds et les faire participer pleinement. C’est sympa !
Lucas : Les valeurs c’est le partage et les sensibiliser au fait qu’ils ont le droit à l’éducation. C’est quand même quelque chose d’énorme ! Ça je pense qu’ils ne s’en rendent pas vraiment compte. Même pour les écoles qu’on a en primaire, CM2-CM1, ça va être difficile, on va essayer, mais ça va être assez compliqué.
Lucie : Mais c’est la beauté du challenge aussi (rires) !
Maxime : Et globalement, de quelle manière est-ce que vous allez communiquer sur le projet auprès des écoles, des sponsors, des donateurs, d’éventuelles ONG. Comment est-ce que vous faites pour communiquer ? Est-ce que vous allez les voir ?
Nicolas : La communication, ça dépend avec qui. Pour trouver des écoles, comme Lucas vient de le dire, pour l’instant on fait pas mal par connaissances, par bouche-à-oreille. Il y a des profs qui nous ont contacté sur Facebook parce qu’ils avaient vu la page. Pour l’instant ça marche plutôt comme ça, après il y a des sites qui existent – « de profs » – comme « Bout de gomme », où je pense qu’à terme on aura sûrement un article et là ils pourront nous contacter aussi. Mais pour l’instant c’est vraiment du bouche-à-oreille les écoles. Pour les ONG et les entreprises, là il y a des bourses qui existent. On a déjà recherché, on a une liste de bourses auxquelles on va participer, une liste des concours. Il faut faire un dossier de sponsoring, faire des petites présentations, et après il y a d’autres boîtes auxquelles on va envoyer le dossier de sponsoring pour nous financer nous. Car les actions de levers de fonds c’est pas du tout pour nous financer nous, c’est entièrement pour les parrainages. Et après, pour la communication avec les sponsors, on envoie un dossier de sponsoring en proposant différentes « formules » – s’ils acceptent de nous sponsoriser, on écrit un petit truc sur eux sur notre site, on dit qu’ils sont partenaires. Et après, pour les donateurs, on va bientôt lancer une campagne de crowdfunding, on ne sait pas encore sur quelle plateforme, mais ça va arriver bientôt.
Lucie : D’accord, super !
Lucas : Et là, on vient de s’inscrire à une bourse Total, j’en profite pour faire un peu de pub.
Lucie et Maxime : Oui, allez-y, c’est le moment !
Lucas : Si vous voulez voter, c’est sur la bourse Total, la bourse « Total Cares », qui pourrait nous permettre de financer un peu le projet. Il y a au moins 150 personnes, il faut forcément quasiment être en école d’ingénieur, il faut une adresse universitaire -e-mail. On est seizième en partant de la fin.
Lucie : D’accord, donc l’objectif pour ceux qui regardent c’est de les faire monter jusqu’au sommet du concours Total. Ça les aiderait bien pour financer tout ce qui est matériel. C’est de ça dont vous avez besoin en fait, c’est pour financer tous les aspects…
Lucas : … ce n’est pas pour l’association là, c’est une bourse pour nous, pour le budget du voyage. C’est assez conséquent quand même.
Maxime : Donc l’idée, c’est de juste voter et vous montez dans le classement ?
Lucas : Exactement !
Nicolas : En fait, il n’y a pas de classement On est seizième en partant de la fin, mais on est toujours à cette place-là. On ne voit pas le classement en direct en fait.
Lucas : Oui, ce n’est pas le classement. On est seizième en partant de la fin car on s’est inscrit dans les derniers !
Lucie : Ah d’accord ! Très bien, j’ai cru qu’il fallait vous faire monter dans la liste. En fait, pour ceux qui veulent les trouver, il faut aller chercher en bas de la liste et ensuite voter pour eux !
Lucas : Oui, on n’est pas classés seizième en partant de la fin, c’est juste notre emplacement.
Lucie : Est-ce qu’on peut juste parler très rapidement des aspects vraiment techniques du voyage à vélo pour vous… Quel type de matériel vous emportez ? Est-ce que vous êtes déjà au point là-dessus, est-ce que vous avez déjà fait votre liste ? Vous avez déjà votre matériel ?
Lucas : Oui on a commencé à en parler, après c’est sûr qu’on n’a pas encore le nom de tous les matériaux qu’on va emporter. Ce qui nous paraît très important c’est le vélo, je pense que là on va investir dans du très très bon matériel. On ne veut pas de restrictions de budget sur ça, car c’est un outil qui va nous servir pendant sept mois et on veut un truc costaud. Après, ce qui est important c’est l’appareil photo.
Nicolas : Oui tout ce qui va permettre de faire des reportages, une caméra, un trépied peut-être, une go-pro…
Lucas : Et après, un short et un t-shirt !
Lucie : Oui, faut pas trop se charger niveau vêtements, ça ne sert à rien (rire) !
Lucas : Voilà, une petite tente et deux matelas…
Nicolas : Et plein de matériel de rechange pour le vélo quand même, en 6000 kilomètres on va forcément avoir des problèmes.
Lucie : Oui, ce serait bête d’abandonner à cause de ça, ce serait triste.
Nicolas : On aura de quoi surmonter les problèmes.
Lucie : Et vous envisagez de vous héberger au jour le jour ? Camping, s’il y a des gens qui veulent bien vous héberger ? C’est surtout comme ça ?
Lucas : Au maximum, on aimerait dormir chez l’habitant ! C’est un peu le gros but du projet, c’est de dormir chez l’habitant, pour vraiment être immergés dans la vie des gens.
Nicolas : Après, si jamais on n’ y arrive pas, on aura notre tente déjà, pour faire du bivouac, et on ira peut-être de temps en temps dans un hôtel. Mais notre but c’est d’être le plus proche possible de la population locale.
Lucie : Toujours dans cette logique de rencontres, de partage du voyage. Est-ce que tu as d’autres questions Maxime ? Est-ce que vous voulez ajouter quelque chose qui vous tient à cœur ?
Lucas : Merci en tout cas ! C’était notre première interview ! On espère que le projet va encore prendre de l’ampleur et que ça va pouvoir se faire, normalement il n’y a pas de soucis.
Lucie : On espère aussi ! Ça va se faire, très certainement.
Lucas : On est bien partis !
Lucie : J’ai une dernière petite question, plutôt s’il y avait des profs qui voyaient cette interview et qui étaient intéressés. Vous avez une limite d’écoles qui participent, ou vous êtes ouverts à toute école qui voudrait participer au projet en France ?
Nicolas : Théoriquement, on n’a pas de limite, mais en pratique on va intervenir dans chaque école avant de partir. S’il y a des écoles dans toute la France, ça nous fera faire un tour de France avant de partir.
Lucas : C’est pas mal aussi !
Nicolas : On est ouverts à toutes les propositions des professeurs et surtout s’il y a des idées auxquelles on n’avait pas pensé…
Lucie : Super ! Donc, si vous êtes prof et que vous voyez cette vidéo, ça peut être un projet intéressant pour vos classes. N’hésitez pas à les suivre, sur Facebook, à leur écrire, à guetter l’arrivée de leur site aussi, et à les aider pour ce concours Total [NDLR : il faut une adresse mail universitaire pour participer], pour les aider à partir dans les meilleurs conditions possibles !
Lucas : Et n’hésitez surtout pas à nous envoyer un message, parce que c’est vrai que les gens n’ont pas tendance à nous envoyer un message. Là on a lancé la page Facebook et on a beaucoup de likes, mais personne n’a tendance à nous envoyer des messages. Et nous ça nous ferait super plaisir pour pouvoir parler de notre projet [NDLR : pareil pour nous] !
Lucie : Bon, alors il faut communiquer, n’hésitez pas à leur écrire, ça leur fera plaisir et c’est super, il y a des projets qui pourront se mettre en place comme ça ! Très bien, je pense qu’on a bien fait le tour de votre projet, c’est très intéressant, on va vous suivre avec plaisir en tout cas !
Maxime : Merci pour cette interview, à bientôt, et bonne chance pour le reste de l’aventure !
Lucas : Merci bien !
Maxime : On continuera à vous suivre en tout cas !
Nicolas : Merci beaucoup à vous aussi !
Quelques points à retenir du projet de Lucas et Nicolas
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Nous espérons que ce témoignage vous a plu ! Nous avons vraiment apprécié cette rencontre avec V’Asie Roule et leur projet porteur d’espoir !
N’hésitez pas à les encourager en commentaires 🙂
À très bientôt !
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